DE MONZIE (Pierre-Armand-Anatole), Chevalier de la Légion d’Honneur, né à Bazas (Gironde) le 22 novembre 1876, décédé le 11 janvier 1947.Licencié ès lettres (philosophie) (1895), – avocat à la Cour d’appel de Paris (26 janvier 1898), – chef adjoint du cabinet du ministre de l’Instruction publique (1902), – chef de cabinet (1903), – conseiller général du Lot (1904), – directeur du cabinet du ministre de la Justice (1905), – député du Lot (1909-1919), – président du Conseil général du Lot (1919), – maire de Cahors, – sénateur du Lot (1919-1929), – député du Lot (1929), – sous-secrétaire d’État à la marine marchande (1913), (1917), – ministre des Finances (1925), – ministre de l’Instruction publique (1925), – ministre de la Justice (1925), – ministre des Travaux publics (1926), – ministre des Finances (1926), – ministre de l’Éducation nationale (3 juin 1932-27 janvier 1934), – rapporteur du budget des colonies (1924-1925), – ministre des Travaux publics (26 août 1938), – prix Cartier de 1900, – discours de rentrée de 1901 : Le jury contemporain et les crimes passionnels (1901) ; – auteur de : Les réformes scolaires (1907) ; – Aux confins de la politique (1913) ; – Les réformes maritimes (1914) ; – Si ressuscitara (1916) ; – Rome sans Canossa (1918) ; – La politique religieuse des indifférents (1919) ; – L’entrée au Forum (1920) ; – Terra clausa (1924) ; – Du Kremlin au Luxembourg (1924) ; – Au Vatican ; Discours en action (1928) ; – Destin hors série (1928) ; – Contes de Saint-Céré (1928) ; – Petit Manuel de la Russie nouvelle (1931) ; – Grandeur et servitude judiciaires (1931) ; – Livre d’oraisons (1934) ; – Veuves abusives. – 22 janvier 1923, notice sur M. Edmond Seligman (B40-82), – 1er février 1926, notice sur M. René Viviani (B42-136).
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